Mes voisins de cabine.
Moi, le balancement du train me dérange car j’ai peur d’être malade. Je ne suis jamais malade, et c’est bien pour cela que j’en ai peur ; je ne saurai pas quoi faire si cela m’arrivait.
Moi, le balancement du train me dérange car j’ai peur d’être malade. Je ne suis jamais malade, et c’est bien pour cela que j’en ai peur ; je ne saurai pas quoi faire si cela m’arrivait.
LE TRAIN EST D’UNE RÉGULARITÉ SURPRENANTE. Les traverses se succèdent au son des tagadam – tagadam. la cabine se balance en rythme. Les arbres nus passent et repassent derrière la vitre froide.